Je ne suis pas arrivée à la sophrologie par hasard. J'ai intégré l'école Française de sophrologie en 2010. J'utilisais alors le magnétisme afin de soulager celles et ceux qui me sollicitaient. Soigner une entorse, un lumbago, un problème de tendon est une chose, prendre en charge une pathologie due à un état émotionnel perturbé en est une autre.
Étant passée moi-même par des périodes difficiles, je savais par expérience que la seule possibilité pour retrouver un équilibre ne pouvait émerger que par une réelle prise de conscience de ses propres difficultés existentielles. La voie de la guérison nous appartient. Ici pas de miracle, pas d'être providentiel venu nous sauver.
Personne ne viendra nous libérer de nos peurs, de nos croyances limitantes, de nos conditionnements, de nos programmations, de nos schémas répétitifs et de nos difficultés à nous adapter à un monde en perpétuel mouvement. Nous seuls avons ce pouvoir, nous seuls sommes les créateurs de notre vie.
La sophrologie est pour moi un formidable outil d'ouverture de la conscience, d'équilibre et de dépassement de soi.